I'm with u, friend [Anya]

“because I have a brother, I will always have a friends”

J'avais décidé d'aller rendre visite à Anya. C'était une bonne amie à moi et je savais qu'elle avait eu un accident. J'étais très inquiet et septique. Je voulais en savoir davantage et surtout prendre de ses nouvelles. De plus, elle me manquait. Elle avait briller en son absence aux funérailles et je n'avais jamais pu résoudre cela bien que je l'avais rencontré brièvement au centre d'achat. On s'était bien dit qu'on referait de quoi, mais on n'en avait pas eu la chance ni l'occasion. Il est vrai que je m'isolais. L'alcool était un refuge. Je m'occupais même très peu de ma fille. Je dilapidais mon argent dans les services à domicile, restaurant, nounou, femme de ménage, livraison, alcool et bar. Je n'essayais plus même d'avoir des histoires avec des femmes. Comme je ne voulais plus m'attacher, comme je ne voulais pas retenter de retomber amoureux ni de refaire une famille. Je ne voulais pas nécessairement de d'autres enfants, même si j'avais toujours rêvé de voyager en famille avec une famille nombreuse dans une union harmonieuse. Depuis que Avery était parti, je n'avais pas reeu d'histoire sérieuse et jamais je n'avais présenté ma petite à de potentielle prétende. De toutes façons, c'était souvent à l'extérieur, lorsque j'étais en tournée et la petite se faisait garder ou bien la nounou nous accompagnait. Ou bien c'était avec des collègues de la troupe, bien que ce n'était pas indiqué. Tout comme le personnel administratif ou de soutient. Bon, je ne pouvais pas dire que je suivais les recommandations! Je n'étais pas quelqu'un d'élogieux sur les règles et mes amis les plus proches le savait. Ma famille aussi et même concernant mon petit caractère et côté séducteur! Talisa avait d'ailleurs mauvaise opinion de moi sans doute pour cette raison, entre autre. Nous n'étions peut-être pas tous comme ça dans les Frères Prescott, quoique j'avais des doutes, mais j'étais certainement un des plus coureur de jupons. Avant et après Avery! C'était comme ça, une petite tendance ou manie naturelle.

Dans tous les cas, plutôt que de ruminer et être égocentrique, d'aller voir Anya me changerait les idées. Puis, ça faisait toujours du bien de voir des amis. Je pourrais aussi lui dire pour mon frère Wayan. Je cognai à la porte, des fleurs à la main. J'attendais patiemment.